Me voici exposé(e) à la perte de mes repères, à ce vide effrayant, à cette indicible peine et pourtant, plus que jamais, « je vais devoir prendre soin de moi ».
Je vais ménager mes ressources, écouter mes besoins, respecter mon corps et peut-être ses envies de calme et de recueillement. Je vais être attentif(ve) à ma souffrance : est-elle en train de m’envahir ? ai-je besoin d’aide ?