Cet « état d’âme » peut concerner une situation où le décès intervient après une longue période de souffrances, de rémission, de pronostics et de vaines espérances… On peut alors ressentir à la fois un soulagement du à la fin d’une situation douloureuse et de la tristesse due au constat que « l’irrémédiable » a eu lieu : l’autre n’est plus là. De cette ambivalence peut naître de la culpabilité.